Formatage et société
Dans le monde dans lequel nous vivons, nous sommes tous conditionnés, formatés par la "société".
Quel grand mot... Quel concept difficile à saisir...
Je vois la plupart des êtres humains comme des moutons (excusez moi...). On nous explique ce qu'est le bien et le mal, et on suit cet idéal et on s'en écarte.
Les lois, les religions... Des concepts purement humains inventés pour que la société puisse tourner. Pour que le maximum de personnes suivent le troupeau.
Pendant longtemps, je suis resté bloqué dans une situation inconfortable : j'ai refusé de faire partie du troupeau, mais du coup, je ne savais pas vraiment où aller. Je savais ce que je ne voulais pas, mais pas ce que je voulais mettre à la place...
Aujourd'hui, j'ai mûrri. Je suis le troupeau quand la direction qu'il suit me convient, je m'en écarte quand je le veux si ses choix ne me conviennent pas.
Je pense qu'une majorit de personnes choisissent (sans doute inconsciemment) de suivre la société dans laquelle ils naissent. C'est tellement rassurant d'être un atome perdu dans la masse, de ne plus réfléchir, de se laisser "formater".
On se met alors à croire que la beauté répond à des règles strictes, que la beauté est dans l'objet.
Je pense personellement qu'une partie majeure de la beauté est dans le regard.
Prenons l'exemple de la femme. IL y a encore un ou deux siècle, pour qu'une femme soit considérée comme attirante, il lui fallait un tour de taille important et une peau la plus claire possible. Cela prouvait qu'elle avait les moyens de se nourrir abondemment et qu'elle n'avait pas à travailler en extérieur.
Aujourd'hui, le modèle de beauté se rapproche de l'anorexie et du bronzage.
Alors prenez ces deux stéréotypes de femme "parfaite" et échangez les. Juste un ou deux petits siècles.
On se retrouve avec une Marie de Médicis et une Angélina Jolie d'une laideur repoussantes toutes les deux. Alors que c'étaient des quasi modèles de beauté...
Et on trouve des cas similaires dans tous les domaines. Le beau devient laid, le laid devient beau.
Alors, plutot que de chercher à embellir les objets et les personnes, pourquoi ne pas attendre que les êtres humains les trouvent beau d'eux-même ?
Tout n'est que mode, relativité, superficialité. En France, avec le crâne rasé, je suis un jeuné délinquant. Au tibet, je suis un moine...
Le jugement d'un grand nombre de personnes est ainsi formaté.
La société est individualiste, les gens le deviennent...
Mais si le troupeau court vers le ravin, pourquoi le suivre ?
Quel grand mot... Quel concept difficile à saisir...
Je vois la plupart des êtres humains comme des moutons (excusez moi...). On nous explique ce qu'est le bien et le mal, et on suit cet idéal et on s'en écarte.
Les lois, les religions... Des concepts purement humains inventés pour que la société puisse tourner. Pour que le maximum de personnes suivent le troupeau.
Pendant longtemps, je suis resté bloqué dans une situation inconfortable : j'ai refusé de faire partie du troupeau, mais du coup, je ne savais pas vraiment où aller. Je savais ce que je ne voulais pas, mais pas ce que je voulais mettre à la place...
Aujourd'hui, j'ai mûrri. Je suis le troupeau quand la direction qu'il suit me convient, je m'en écarte quand je le veux si ses choix ne me conviennent pas.
Je pense qu'une majorit de personnes choisissent (sans doute inconsciemment) de suivre la société dans laquelle ils naissent. C'est tellement rassurant d'être un atome perdu dans la masse, de ne plus réfléchir, de se laisser "formater".
On se met alors à croire que la beauté répond à des règles strictes, que la beauté est dans l'objet.
Je pense personellement qu'une partie majeure de la beauté est dans le regard.
Prenons l'exemple de la femme. IL y a encore un ou deux siècle, pour qu'une femme soit considérée comme attirante, il lui fallait un tour de taille important et une peau la plus claire possible. Cela prouvait qu'elle avait les moyens de se nourrir abondemment et qu'elle n'avait pas à travailler en extérieur.
Aujourd'hui, le modèle de beauté se rapproche de l'anorexie et du bronzage.
Alors prenez ces deux stéréotypes de femme "parfaite" et échangez les. Juste un ou deux petits siècles.
On se retrouve avec une Marie de Médicis et une Angélina Jolie d'une laideur repoussantes toutes les deux. Alors que c'étaient des quasi modèles de beauté...
Et on trouve des cas similaires dans tous les domaines. Le beau devient laid, le laid devient beau.
Alors, plutot que de chercher à embellir les objets et les personnes, pourquoi ne pas attendre que les êtres humains les trouvent beau d'eux-même ?
Tout n'est que mode, relativité, superficialité. En France, avec le crâne rasé, je suis un jeuné délinquant. Au tibet, je suis un moine...
Le jugement d'un grand nombre de personnes est ainsi formaté.
La société est individualiste, les gens le deviennent...
Mais si le troupeau court vers le ravin, pourquoi le suivre ?